Aides récentes
1/ Entreprises sociales : Ronalpia lance un appel à projets
Dossier à déposer avant le 9 octobre 2024
Ronalpia, association qui accompagne les entreprises sociales dans leur création, lance un appel à projets pour trouver les structures à accompagner dans la Loire en 2025.
Dossier à déposer avant le 9 octobre.
Ronalpia entend accompagner huit entrepreneurs à Saint-Etienne et six sur le pays Roannais, qui bénéficieront d’un suivi individuel, d’ateliers collectifs, mais aussi d’une mise en réseau. Les porteurs de projet ont jusqu’au 9 octobre pour envoyer leur candidature via le lien ci-dessous.
L’accompagnement des projets retenus commencera au mois de janvier pour s’achever en octobre.
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2/ Concours Tech For Future La Tribune
Du 3 octobre 2024 au 14 janvier 2025
Ce concours récompense les pépites de la French Tech dans 1 des 6 catégories suivantes :
- Smart tech : pour les startups qui proposent de fortes innovations d’usage : logiciels, plateformes, applications BtoB et BtoC, objets connectés (secteurs du cloud, e-commerce, Internet et réseaux sociaux, immobilier, luxe, tourisme & loisirs, entreprises à forte valeur ajoutée sociale, sociétale, démocratique, entreprises des secteurs de la culture, des médias, la Social Tech, les Civic Tech, l’économie sociale et solidaire, l’économie collaborative…) ;
- Santé : pour les startups de la Healthtech (biotech, medtech, e-santé) qui créent de nouvelles solutions pour la médecine de demain : santé connectée, télémédecine, nouvelles méthodes et outils de diagnostic, nouveaux médicaments, thérapies numériques ;
- Data & IA : pour les startups à forte valeur ajoutée technologique, qui utilisent le trésor des data pour créer de nouveaux produits et services pour les entreprises et les particuliers,
- Environnement et énergie : pour les startups qui contribuent à la transition écologique et la transition énergétique (greentech, agritech, nouvelles énergies renouvelables et décarbonées, nouveaux matériaux, lutte contre le gaspillage, préservation de la biodiversité, éco-construction, gestion des déchets, transports propres…) ;
- Industrie : pour les startups qui contribuent à la réindustrialisation de la France, développent de nouvelles filières industrielles et/ou rendent l’usine intelligente (grâce à l’Internet des objets, l’impression 3D, l’intelligence artificielle ou encore l’automatisation des outils de production),
- Start : pour les startups en phase d’amorçage, tous secteurs confondus, qui n’ont pas encore de produit fini ou de clients.
Candidats
Peuvent candidater les startups de France.
Dotations
- 100 000 € d’espaces publicitaires à dépenser sur les supports de La Tribune,
- Un portrait édité par un journaliste de La Tribune,
- Un article de présentation de la start-up,
- Une campagne de visibilité sur les réseaux sociaux durant les jurys et jusqu’à la cérémonie,
- Un networking avec le jury, les journalistes de La Tribune et l’écosystème local lors du cocktail,
- Une invitation de la rédaction de La Tribune à des débats au Grand Rex ou à d’autres événements de La Tribune,
- 2 places à tous les lauréats pour participer à FDDay en septembre prochain,
- Un accès aux RDVs B2B lors de la journée au Grand Rex,
- 20 invitations à la soirée au Grand Rex,
- Un trophée remis lors de la cérémonie au Grand Rex avec prise de parole.
3/ (ANR) Water4All Appel à projets 2024 “Eau et économie circulaire”
Du 23 septembre 2024 au 29 avril 2025 avec une pré proposition au 13 novembre 2024
Cet appel à projets transnational est lancé dans le cadre du partenariat européen Water4All et soutient des projets de recherche et d’innovation qui portent sur l’eau et l’économie circulaire.
Les résultats des projets doivent contribuer à la mise en œuvre de politiques et stratégies de gestion de l’eau mondiales, européennes et nationales, dans le cadre du Green Deal, de la Directive Cadre sur l’Eau (DCE), de la Transition Juste et des Objectifs de Développement Durable des Nations Unies
Les propositions de recherche et d’innovation déposées dans le cadre de cet appel et ses différentes modalités doivent aborder au moins l’un des sujets suivants :
- Thème 1 : Amélioration de la réutilisation de l’eau dans les industries.
- Thème 2 : Réutilisation de l’eau en milieu urbain.
- Thème 3 : Récupération et valorisation des ressources/ produits issus du traitement des eaux usées.
- Thème 4 : Implications économiques, environnementales et sociales de la réutilisation de l’eau et des produits issus du traitement des eaux usées
Cet appel comprend une modalité ciblant les chercheuses et chercheurs en début de carrière (ayant soutenu leur thèse depuis moins de 10 ans soit après le 1er janvier 2014).
Un webinaire d’information à destination de la communauté française sera également organisé le vendredi 4 octobre à 10h (heure de Paris). Le lien d’inscription est disponible ici.
En savoir +4/ (ANR) Appel à projets générique 2025
Déposez vos dossiers de candidature pour l’étape 1 avant le 15 octobre
Principal appel de l’Agence nationale de la recherche (ANR), l’Appel à projets générique 2025 (AAPG 2025) s’adresse à toutes les communautés scientifiques et à tous les acteurs publics ou privés impliqués dans la recherche française, y compris les entreprises (PME, ETI, GE, start-up). Il doit permettre aux chercheurs et chercheuses des différents domaines scientifiques d’accéder, en complément des financements récurrents qui leur sont alloués, à des cofinancements sur un grand nombre de thématiques de recherche, finalisées ou non.
Tous les types de recherche – fondamentale, industrielle et développement expérimental – sont concernés par l’AAPG. Tous les types de projet sont envisageables : projets visant des objectifs ou concepts originaux, en rupture ou exploratoires, projets visant la levée de verrous scientifiques bien identifiés dans la communauté, projets exploitant les données générées par les infrastructures de recherche, projets faisant suite à de précédents projets et permettant d’envisager de nouveaux objectifs. Un projet déposé à l’AAPG peut avoir une durée de 24, 30, 36, 42, 48, 54 ou 60 mois.
La date de clôture du dépôt et de l’enregistrement pour l’étape 1 de l’Appel à projets générique 2025 (AAPG 2025) de l’Agence nationale de la recherche est fixée au 15 octobre 2024 à 17h (heure de Paris).
En savoir +Infos utiles
1/ La Cour des comptes rend publiques des observations définitives sur la détection et le traitement des difficultés des TPE et PME.
La détection rapide de ces difficultés est cruciale pour préserver l’entreprise et limiter la perte d’emplois.
Pour répondre au risque accru de défaillances des TPE-PME après la crise Covid, l’État a créé en juin 2021 un « point d’entrée universel » avec des conseillers départementaux intégrés dans les directions départementales des finances publiques. Le dispositif inclut également des innovations digitales, comme l’application « signaux faibles » et la plateforme « conseillers-entreprises ». Pour la Cour, le bilan de ces nouveaux dispositifs apparaît toutefois décevant à ce stade.
Les diverses procédures de traitement des difficultés des entreprises obtiennent des résultats hétérogènes.
Les étalements de créances publiques, bien que largement utilisés en sortie de crise, ne garantissent pas le redressement des entreprises : le taux de survie à un an des entreprises bénéficiaires est de 86 %. Ces procédures devraient être complétées par une orientation vers d’autres structures d’accompagnement et les aides régionales, ainsi qu’une information systématique aux chefs d’entreprise en cas d’impayé social ou fiscal. L’accompagnement et la formation des chefs d’entreprise restent trop peu développés. Les offres consulaires et associatives sont peu connues et peu mobilisées.
La médiation du crédit, bien qu’efficace pour la renégociation des prêts bancaires, est de moins en moins sollicitée. Enfin, les procédures amiables auprès des tribunaux de commerce, qui affichent -sur un échantillon de tribunaux- un taux de survie à un an de 72 %, devraient être encouragées, notamment pour les très petites entreprises, en encadrant le coût des procédures.
Le bilan de ces nouveaux dispositifs apparaît toutefois décevant à ce stade :
- Les conseillers départementaux au sein des DDFiP sont encore mal identifiés par les entreprises et les réseaux d’acteurs.
- Les contacts initiés par l’administration auprès des entreprises en difficulté, détectées via l’application « signaux faibles », se traduisent par des retours des chefs d’entreprise dans seulement un tiers des cas (en moyenne 12 par département en 2023).
- De plus, les chefs d’entreprise ne sont pas suffisamment orientés vers les structures et outils adaptés d’accompagnement.
- Enfin, la comitologie actuelle présente un empilement de structures qui ne facilite pas la coordination entre les acteurs, rendant le parcours des entreprises en difficulté complexe et peu clair.
2/ Semaine de l’industrie : les labellisations sont ouvertes
Labellisations avant le 11 novembre 2024
La Semaine de l’industrie est devenue le rendez-vous incontournable entre le monde professionnel et celui de l’enseignement. Cette année, la 13e édition se tiendra du 18 au 24 novembre 2024. Tous les acteurs, entreprises, fédérations industrielles, établissements scolaires et de formation sont invités à labelliser leurs événements avant le 11 novembre 2024.
Tous les acteurs, entreprises, fédérations industrielles, établissements scolaires et de formation souhaitant participer à cette nouvelle édition de la Semaine de l’industrie sont invités à demander la labellisation de leurs événements avant le 12 novembre sur le site semaine-industrie.gouv.fr.
Pour obtenir la labellisation, un événement doit remplir 4 conditions :
- Se dérouler entre le 18 et le 24 novembre 2024 (avec une tolérance pour les événements organisés 15 jours avant ou après ces dates),
- Être ouvert aux publics concernés : scolaires, jeunes, étudiants, demandeurs d’emploi, communauté éducative, professionnels des ressources humaines, grand public,
- Avoir pour objectif d’informer et de communiquer sur le thème de l’industrie,
- Être gratuit.
3/ Réalité de l’accompagnement entrepreneurial en France (Etude EELab)
Une étude de la chaire Entrepreneurial Ecosystem Lab (EELab) du Labex Entreprendre tente d’objectiver la réalité de l’accompagnement entrepreneurial en France. Pour ce faire, les auteurs se sont appuyés sur la collecte réalisée dans le cadre du Global Entrepreneurship Monitor en y insérant des questions sur l’accompagnement .
Il apparaît que l’accompagnement entrepreneurial reste une pratique encore assez peu répandue : moins d’un quart des entrepreneurs interrogés y ont recours.
L’écosystème de l’accompagnement entrepreneurial se compose d’une très grande variété de structures, les acteurs majeurs étant les consulaires. 29 % des entrepreneurs émergents (ayant créé une entreprise dans les 3 ans et demi précédant l’enquête) ont bénéficié principalement de cet accompagnement.
L’étude formule des propositions à destination des décideurs politiques et plus largement pour l’ensemble des acteurs de l’écosystème de l’accompagnement entrepreneurial :
- Pour une stratégie nationale de l’accompagnement entrepreneurial,
- Pour un écosystème de l’accompagnement plus inclusif,
- Pour un accompagnement plus en phase avec les nouvelles attentes des entrepreneurs.
4/ Comprendre et appliquer les principes du référencement naturel (SEO) pour augmenter le trafic de votre site web (Formation ENE)
Quand :
Le 8 octobre de 9h à 13h
Lieu : (présentiel)
78 Route de Paris, 69260 Charbonnières-les-Bains
Pour qui ?
Dirigeants et salariés d’une entreprise ayant un numéro de SIRET et implantée en Auvergne-Rhône-Alpes.
Objectifs
Cette formation en présentiel vous permettra de comprendre le fonctionnement des moteurs de recherche et de connaître les critères pour améliorer la visibilité de votre site dans les résultats de recherche.
À l’issue de la formation, vous serez capable de :
- Repérer les mots-clés pertinents pour votre stratégie SEO
- Réaliser un diagnostic SEO simple
- Construire des pages web qui respectent les critères essentiels du SEO
- Définir les premières actions correctives
5/ “Route vers l’IA” en Auvergne-Rhône-Alpes
Ces prochaines semaines, l’ENE prend la “Route vers l’IA” en se rendant dans tous les départements d’Auvergne-Rhône-Alpes pour parler Intelligence Artificielle.
Des conférences et tables rondes en partenariat avec des acteurs locaux et l’Etat.
Ne manquez pas la prochaine étape près de chez vous :
4 oct 2024 : Puy-en-Velay 👉 S’inscrire
7 oct 2024 : Privas 👉 S’inscrire
17 oct 2024 : Moulins 👉 S’inscrire
7 nov 2024 : Villefranche-sur-Saône
22 nov 2024 : Oyonnax
26 nov 2024 : Bourget-du-Lac
29 nov 2024 : Archamps
3 dec 2024 : Villefontaine
6 dec 2024 : Clermont-Ferrand
10 dec 2024 : Saint-Etienne
10 fev 2025 : Valence
Projets à venir
1/ Le site des impôts a publié la liste des plateformes de dématérialisation partenaires (PDP) pour la facturation électronique entre entreprises.
L’obligation de facturation électronique entre les entreprises françaises assujetties à la TVA interviendra à partir de 2026. Le site des impôts a publié la liste des plateformes de dématérialisation partenaires (PDP) immatriculées sous réserve de leur raccordement ultérieur au portail public de facturation.
L’obligation d’émettre des factures est fixée à partir du :
- 1er septembre 2026 pour les grandes entreprises et les entreprises de taille intermédiaire
- 1er septembre 2027 pour les petites et moyennes entreprises et les micro-entreprises
L’obligation de recevoir des factures électroniques s’appliquera quant à elle à partir du 1er septembre 2026 pour l’ensemble des entreprises.
Les outils de la facturation entre entreprises
Pour émettre ou recevoir une facture électronique d’un fournisseur, une entreprise pourra utiliser, au choix :
- Une plateforme de dématérialisation partenaire de l’administration (PDP), c’est-à-dire immatriculée par l’administration fiscale ; cette PDP pourra être la même que celle du fournisseur ou bien une plateforme distincte.
- Le portail public de facturation Chorus Pro.
Le site des impôts a publié le 20 septembre 2024 la liste des plateformes de dématérialisation partenaires (PDP) immatriculées sous réserve de leur raccordement ultérieur au portail public de facturation.
Les données des transactions d’e-reporting devront, elles être transmises par l’entreprise qui réalise l’opération, à l’administration fiscale, par l’intermédiaire d’une plateforme de dématérialisation partenaire de l’administration ou via le portail public de facturation.
La page Facturation électronique et plateformes partenaires du site des impôts détaille le rôle des plateformes et les étapes de leur déploiement.
Dans le cadre de l’obligation à venir d’émettre et de recevoir des factures électroniques, le décret n° 2023-377 du 16 mai 2023 précise comment sécuriser des factures électroniques, au moyen d’une signature électronique qualifiée ou d’un cachet électronique qualifié.